08 mars 2022

Elisabeth Gets Her Way

Jan Martens

Maison de la Danse

Le nouveau solo de Jan Martens, qu’il chorégraphie et interprète, rend un hommage virtuose à la muse des plus grands compositeurs modernes.
Dernière création du chorégraphe flamand, Elisabeth Gets Her Way rend hommage à Elisabeth Chojnacka, femme exceptionnelle dont le talent et la passion exceptionnels ont contribué à la reviviscence du clavecin dans la seconde moitié du XXe siècle. Le solo est un portrait dansé accompagné d’une bande son composée d’enregistrements qu’elle a réalisés au cours de ses cinquante ans de carrière — des œuvres de Nyman à Ligeti en passant par Montague — et d'extraits d'interviews évoquant la vie et l'oeuvre de la musicienne.
Malgré l’extrême complexité de certaines de ces compositions, Jan Martens réussit à danser en restant aussi proche que possible des partitions et jouer de son corps dans le même esprit que Chojnacka jouait du clavecin. Il convoque différents styles de mouvements tout comme elle slalomait avec aisance entre différents registres et genres avec dans les doigts quelques siècles d’histoire de la musique. En 2021, cela fera exactement cinquante ans que Chojnacka a sorti son premier disque : Clavecin 2000. Un moment idéal pour rendre hommage à cette femme remarquable avec un solo qui lui consacre le temps et l’espace qui lui revient.

la presse en parle
" Voir évoluer sur scène quelqu’un qui nous ressemble rend d’autant plus captivantes les séquences dansées virtuoses, extatiques et inventives. "
Toutelaculture.com

Jan Martens • Elisabeth Gets Her Way • 2021 • Solo – Chorégraphie et interprétation Jan Martens – Ingénieur du son documentaire Yanna Soentjens – Lumière Elke Verachtert – Costume Cédric Charlie – Extraits vidéo Archive INA – Regard extérieur Marc Vanrunxt, Anne-Lise Brevers et Rudi Meulemans – Direction technique Michel Spang, Elke Verachtert – Crédit photographique Luis Xertu
 
Production Grip. Diffusion internationale A Propic - Line Rousseau et Marion Gauvent. Coproduction deSingel / Anvers, Les Hivernales – CDCN d’Avignon, Julidans / Amsterdam, C-TAKT / Limbourg, Perpodium. Résidences deSingel / Anvers, Les Hivernales – CDCN d’Avignon, Toneelhuis / Anvers, ccBe/ Anvers, C-TAKT / Limburg, CN D – Centre national de la danse / Paris. Avec le soutien du gouvernement flamand, Taxshelter du gouvernement federal belge et Cronos Invest. Remerciements INA - l'Institut National de l' Audiovisuel, Les Ballets de Monte-Carlo sous la Présidence de S.A.R. la Princesse de Hanovre / Direction: Jean-Christophe Maillot, Graciane Finzi, Régis Mitonneau, Anne Montaron, Emmanuelle Tat, François-Bernard Mâche, Zygmunt Krauze, Stephen Montague, Raphaël de Gubernatis, Claire Verlet, Ty Boomershine, Joris van Oosterwijk, Liselotte Sels et Kinga Jaczewska.
 

 

Durée: 1H

Lieu
Maison de la Danse
MARS
Mardi 8
20:30

tarif sdd b

Abo 8€ / 13€

Loc 8€ / 15€

Conseillé à partir de 14 ans

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04-05 mars 2022

One More Thing

Adi Boutrous

Maison de la Danse

Autour d’un quartet masculin, le nouveau prodige de la danse israélienne Adi Boutrous remet en cause les codes de la virilité dans un ballet qui oscille entre lutte et union charnelle.
Découvert lors de la dernière Biennale de la danse avec It’s Always Here, un superbe duo à la recherche des racines de l’identité humaine, Adi Boutrous est un artiste hors du commun qui puise dans la danse contemporaine, l’acrobatie et la break dance pour façonner une écriture puissante et charnelle. Il revient à Lyon avec One More Thing, pièce bousculant les stéréotypes de la virilité et la relation entre masculinité et pouvoir. Au cours d’un rituel qui traverse à la fois le contemporain et le traditionnel, quatre hommes vivent un rite de passage basé sur l’empathie à la recherche d’une destinée commune qui les libère de carcans et d’injonctions, pour affirmer ce qu’ils sont profondément. Car “le monde est organisé selon un système phallique, dit le chorégraphe, il faut être fort et cacher ses émotions !” Partant d’un cercle qui s’élargit au gré des rythmes et des énergies, créant de multiples formes d’être-ensemble, les danseurs sont totalement habités. Entre force, élégance et vulnérabilité, portés par une extrême sensualité, ils s’aiment, s’affrontent, se séparent et s’unissent à nouveau, faisant apparaître un embrasement des corps qui prône le droit à la différence et la fin de la domination masculine !

la presse en parle
" Quel choc ! [...] un chorégraphe éblouissant qui s'impose comme un des artistes majeurs de l'époque. "
 Danses avec la plume

Adi Boutrous • One More Thing • 2020 • 4 interprètes – Chorégraphie Adi Boutrous – Interprétation Ariel Gelbart, Jeremy Alberge, Uri Dicker, Adi Boutrous – Directeur des répétitions May Zarhy – Création lumière Ofer Laufer – Costumes Stav Struz – Conception et montage de la bande sonore Adi Boutrous  – Crédit photographique Ariel Tagar
 
Coproductions Adi Boutrous ; Théâtre de la Ville, Paris ; Fabrik Potsdam, Allemagne. L’œuvre est soutenue par The Foundation for Independent Creators founded by the Ministry of Culture and Sport et le programme de résidence the Arab – Jewish community Center, Jaffa. Diffusion DdD

 

Durée: 1H

Lieu
Maison de la Danse
MARS
Vendredi 4
20:30
Samedi 5
20:30

tarif sdd b

Abo 8€ / 13€

Loc 8€ / 15€

Conseillé à partir de 12 ans

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02-03 mars 2022

Mille Miles

Youness Aboulakoul

Les Subs

Danseur, compositeur et chorégraphe, Youness Aboulakoul est un artiste engagé qui questionne la violence sous toutes ses formes. Sa nouvelle création Mille Miles nous confronte à celle engendrée par les frontières.
Création 2021
Brillant interprète d’Olivier Dubois, Radhouane El Meddeb et Christian Rizzo, le jeune chorégraphe d’origine marocaine Youness Aboulakoul explorait l’impact de la violence dans nos corps avec Today is a Beautiful Day, son premier solo créé en 2019. Prolongeant cette recherche, Mille Miles approfondit avec la présence de cinq hommes sur scène la notion de frontière et sa capacité à générer des conflits, des tensions, des oppositions, accentuant par-là même la difficulté du vivre ensemble et du lien aux autres. Ligne de démarcation ou seuil de transgression, elle repousse et exclut, elle relie et protège, inscrite au sol comme dans nos esprits. Dans cette pièce, danse et scénographie forment une architecture chorégraphique où les espaces disparaissent et apparaissent, où la frontière s’affirme comme un espace plastique qui en appelle à la transformation des corps et des lieux. Musique électronique et musique traditionnelle marocaine en constituent les territoires sonores qui croisent leurs rythmes et accompagnent le spectateur dans une expérience sensible et troublante. Laissant éclater une danse très physique qui repousse les limites du corps, Youness Aboulakoul redéfinit un monde où les frontières deviennent des lignes imaginaires, des lieux de passage ouverts à la complexité des relations humaines et à la création.

Cie Ayoun • Mille Miles • 2021 • 5 interprètes – Concept, chorégraphie Youness Aboulakoul – Media design Jéronimo Roé – Création lumière Shani Breton – Création sonore Zouheir Atbane – Interprétation Yassine Aboulakoul, Alexandre Bachelard, Gaspard Guilbert, Yannick Hugron, Jean-Yves Phuong – Crédit photographique Youness Aboulakoul
 
Production Cie. Coproduction (en cours) Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine ; Les Subsistances, Lyon. Accueil studio CCN et CDCN (Orléans, Caen, Grenoble, Le Havre, Roubaix) ; Charleroi Danse ; ADAMI ; Conseil départemental du Val-de-Marne (aide à la création) ; Arab Fund for Arts and Culture (AFAC). Soutiens DRAC Ile-de-France ; La Briqueterie - CDCN du Val-de-Marne (prêt studio)
 
En partenariat avec  
 

 

Durée: 1H

Lieu
Les Subs
MARS
Mercredi 2
20:00
Jeudi 3
20:30

tarif subs

Abo 8€ / 13€

Loc 13€ / 16€

Conseillé à partir de 16 ans

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01-05 mars 2022

Jeanne Brouaye / Maëlle Reymond

Création en cours

Maison de la Danse

Deux jeunes créatrices de la région, Jeanne Brouaye et Maëlle Reymond, vous présentent leurs travaux “en cours”. Accédez à la création en train de se faire, et venez échanger avec les artistes autour de leur processus de travail !
CRÉATION
JEANNE BROUAYE
À voix et à mains nues
MAR 1er MARS 2022 - 19H / RÉSERVER
Jeanne Brouaye s’inscrit dans le sillon des écritures scéniques hybrides. Formée à la danse contemporaine, au théâtre, à la musique, sa pratique est plurielle. Comme interprète, elle collabore entre autres avec Christian Schiaretti, puis elle assiste pendant 3 ans la chorégraphe Olivia Grandville. Le fil conducteur de son travail est la notion d’habitat, comme lieu et moyen de repenser le monde. à voix et à mains nues est une plongée poétique dans nos usages, guidée par l’obsession de réparer nos maisons, au moyen d’enjeux plastiques, littéraires, chorégraphiques et musicaux. Après avoir travaillé avec le bois et la laine dans ses deux premières pièces, c’est à la paille cette fois-ci qu’elle s’attelle  en s’interrogeant sur l’architecture vernaculaire. Pas d’autre choix possible pour ceux qui les construisent que d’être à l’écoute de leur matière, et c’est cela même qui intéresse dans ce travail : l’attention portée à l’Autre.
–––
Conception, interprétation Jeanne Brouaye – Distribution en cours – Production, accompagnement artistique boom’structur
 

 
MAËLLE REYMOND / CIE INFIME ENTAILLE
éclats
sam 5 MARS 2022 - 19H / RÉSERVER
Après avoir notamment collaboré avec les compagnies Adrien M & Claire B et du 13ème Quai, l’artiste chorégraphique Maëlle Reymond fonde en 2016 sa propre compagnie, Infime Entaille, puis est lauréate du dispositif Création en cours porté par les Ateliers Médicis en 2018.
Elle axe principalement ses recherches sur les liens concrets et mystérieux que le corps noue intérieurement et extérieurement. Son parcours d’interprète est sensiblement influencé par le butô qu’elle découvre en 2013, pratique artistique qui l’incite à travailler profondément le détail et le mouvement.
« Éclats est une question de point de vue. » Entre brillance et brisure, l’artiste joue sur les oppositions et les contraires dans ce solo qui verra le jour en 2022. Tout s’enchaîne mais pour mieux basculer au point de rendre la performance incertaine.
–––
Conception, interprétation Maëlle Reymond – Création lumière, vidéo, son, musique live Jérémy Chartier, Christophe Sartori – Scénographie Maëlle Reymond, Jérémy Chartier, Christophe Sartori
 

La Maison de la Danse s’engage pour la jeune création !
Pôle européen de création, la Maison de la Danse s’engage tout le long de l’année aux cotés des créateurs pour soutenir leur processus artistique. Lors de chaque édition du festival Sens Dessus Dessous, la Maison de la Danse vous invite à découvrir des démarches originales. Pour cette nouvelle édition, nous avons souhaité convier deux jeunes créatrices de la région — Jeanne Brouaye et Maëlle Reymond — à présenter leurs travaux “en cours”. Grâce à ces deux propositions artistiques, accédez à la création en train de se faire, et venez échanger avec les artistes autour de leur processus de travail.
 

 

Durée: 1H

Lieu
Maison de la Danse
MARS
Mardi 1
19:00
Samedi 5
19:00

ENTRÉE LIBRE

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01-12 mars 2022

Festival Sens Dessus Dessous

1er > 12 mars

Maison de la Danse

des formes pointues et œuvres hybrides de chorégraphes contemporains, des plus émergents aux plus confirmés
Festival
Créé en 2012 avec l’arrivée de Dominique Hervieu, le festival Sens Dessus Dessous bouscule nos certitudes chorégraphiques et se veut faire le lien artistique entre deux éditions de la Biennale de la danse. S’y rassemblent des formes pointues et œuvres hybrides de chorégraphes contemporains, des plus émergents aux plus confirmés. Leur dénominateur commun étant un goût prononcé pour la recherche et l’expérimentation.
 
Pour cette 10e édition, la Maison de la Danse - Pôle européen de création est heureuse de partager avec le public une semaine de pépites à découvrir, signées par des artistes confirmés ou émergents, locaux ou internationaux !
On associe souvent la recherche chorégraphique à une dimension conceptuelle, ardue ou hermétique. Cette nouvelle édition va démontrer le contraire. Aujourd’hui, un grand nombre de chercheurs se rapprochent de l’humain, du lien entre les êtres, quelques fois grâce à une forme de narration très inventive, une grande sensualité ou en convoquant des récits ancestraux. C’est ce parcours dédié à toutes les formes d’amour et à la complexité de ces sentiments profonds que vous pourrez découvrir durant le festival Sens Dessus Dessous.
 
Jeune chorégraphe norvégien, Alan Lucien Øyen fait partie du club très fermé des artistes qui ont créé pour le Tanztheater Wuppertal - Pina Bausch. Il nous embarquera dans les méandres des relations humaines avec un remarquable sens de la théâtralité.
Jan Martens, figure de la nouvelle vague flamande, nous offrira un portrait dansé de la claveciniste polonaise Élisabeth Chojnacka, tandis que la danseuse-chorégraphe Kaori Ito et l’acteur Yoshi Oïda redonneront vie à une histoire légendaire du théâtre Nô, dans laquelle un vieil homme tombe amoureux d’une danseuse. Le jeune prodige de la danse israélienne Adi Boutrous qui nous emmènera sur les chemins de la fraternité et de la camaraderie entre 4 hommes d’une grande sensibilité, loin de la domination masculine. Enfin, l’artiste engagé Youness Aboulakoul interrogera les notions de frontière entre les lieux, les êtres, et leurs capacités à générer des conflits.
 
À la Maison, nous avons pensé qu’en 2022, nous aurons besoin de beaucoup de danse et d’amour !
 

LA PROGRAMMATION 2022
Lieu
Maison de la Danse
MARS
Mardi 1
19:00
Samedi 12
23:30

De 8€ à 25€

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27 fév. 2021

Oskara

Kukai Dantza

Maison de la Danse

spectacle annulé
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Suite aux contraintes sanitaires actuellement en vigueur, les spectacles présentés dan le cadre du festival Sens Dessus Dessous sont annulés.
Cliquez ici pour plus d'informations sur les modalités de remboursement  
Merci pour votre compréhension.
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Dans un décor évoquant une salle d’opération, un homme fait une expérience ultime avant de mourir, un voyage dansé qui le relie à ses origines et à sa culture basque avec tous ses mythes et symboles, ses personnages de carnaval et ses joueurs de pelote. Très remarqué au Festival d’Avignon en 2019, Oskara invente une écriture où danses traditionnelles basques et langage contemporain entrent en résonance. Jon Maya, directeur de la compagnie Kukai Dantza, est à l’initiative de ce projet inédit pour lequel il a invité le déroutant Marcos Morau, chorégraphe de La Veronal. Deux artistes espagnols aux univers différents se rejoignent pour un choc chorégraphique et visuel. Traversée par des chants basques interprétés en live et enregistrés, la pièce dévoile une succession de tableaux saisissants comme autant de paysages énigmatiques, de géographies humaines qui nourrissent une réflexion intense sur ce qui constitue l’identité basque. Dans un clair-obscur soulignant l’esthétique onirique et iconographique de Mauro, la danse est impressionnante de technicité, élégante, imprégnée de contemporanéité et de codes ancestraux. Elle transmet au public les vibrations d’une terre, son langage et son humanité. 

la presse en parle
 
"Oskara combine, avec élégance et technique, identité basque et modernité."
sceneweb.fr

 
 

Kukai Dantza  • Oskara • 2016 • 5 interprètes - Conception, chorégraphie Marcos Morau - Interprétation chant Julen Achiary - Danseurs Eneko Gil, Ibon Huarte, Alain Maya, Martxel Rodríguez, Urko Mitxelena - Direction de la compagnie Jon Maya - Dramaturgie Pablo Gisbert - Musique Xabier Erkizia, Pablo Gisbert - Costumes Iraia Oiartzabal - Crédit photographique Gorka Bravo

 
Production Kukai Dantza. Coproduction San Sebastián Capitale européenne de la culture 2016 ; Donostia Kultura Victoria Eugenia Theater ; Scène nationale du Sud-Aquitain ; Malandain Ballet Biarritz. Avec le soutien du Gouvernement basque, Ville d’Errenteria ; Errenteria Kultura Kreaktiboa, Pays basque. Avec l’aide de Etxepare. 
 

Durée: 1H

Lieu
Maison de la Danse
FÉVRIER
Samedi 27
20:30

Tout public

Pass : 13€

Location : 13€

Conseillé à partir de 14 ans

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26 fév. 2021

Extension / Point Zéro

Amala Dianor

Maison de la Danse

spectacle annulé
Création 2021
Artiste associé
Première mondiale
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Suite aux contraintes sanitaires actuellement en vigueur, les spectacles présentés dan le cadre du festival Sens Dessus Dessous sont annulés.
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Placé sous le signe de la rencontre et de l’amitié, ce programme nous invite à découvrir le danseur et chorégraphe Amala Dianor qui fut le magnifique interprète d’Emmanuel Gat et Abou Lagraa. Issu de la culture hip hop, il développe une danse virtuose et transgressive portée par le croisement des styles — hip hop, danse africaine, danse contemporaine et néo-classique —, considérant qu’elle est avant tout un lien sensible entre les êtres humains, un trait d’union entre les différences. Extension est un duo créé avec Bboy Junior, star mondiale du breakdance, conçu comme un clin d’œil à leur première joute scénique à l’occasion des 20 ans du Festival Suresnes Cité Danse en 2012. Ils inventent un dialogue fait de prouesses techniques dans un esprit de partage et de fraternité tandis que leur gestuelle très graphique instaure une danse aussi masculine que féline. Dans Point Zéro, sa nouvelle création, Amala Dianor retrouve Johanna Faye et Mathias Rassin, deux amis et danseurs de renom issus de la street dance. Sur une musique d’Awir Leon, ils créent un trio sensible qui éprouve les chemins parcourus et les esthétiques de chacun pour voir ce que sont devenues les valeurs fondatrices du hip hop, pour voir s’il est encore possible d’y puiser afin de créer, transmettre et danser ensemble.
 

Amala Dianor Compagnie • Extension • 2014 • 2 danseurs - Chorégraphie Amala Dianor - Interprétation Junior Bosila (Bboy Junior), Amala Dianor - Musiques Olivier • Point zéro • 2021 • 3 danseurs - Chorégraphie Amala Dianor - Interprétation Amala Dianor, Johanna Faye, Mathias Rassin - Musiques Awir Léon – Lumières Nicolas Tallec
 
Extension Une commande et coproduction du Théâtre de Suresnes – Jean Vilar. Avec le soutien du CNDC d’Angers. Point zéro Production Kaplan / Cie Amala Dianor. La compagnie Amala Dianor est conventionnée par la DRAC Pays de la Loire, soutenue par la Ville d’Angers et la Région Pays de la Loire. Elle bénéficie depuis 2020 du soutien de la Fondation BNP Paribas. Amala Dianor est artiste associé à la Maison de la Danse de Lyon – Pôle européen de création. Coproduction Maison de la Danse, Lyon ; Bonlieu, scène nationale d’Annecy. 
 
Amala Dianor Compagnie reçoit le soutien de la Fondation BNP Paribas pour le développement de ses projets.
 

Durée: 1h

Lieu
Maison de la Danse
FÉVRIER
Vendredi 26
20:30

Tout public

Pass : 13€

Location : 13€

Conseillé à partir de 12 ans

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23 fév. 2021

Muyte Maker

Flora Détraz

Les Subs

spectacle annulé
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Suite aux contraintes sanitaires actuellement en vigueur, les spectacles présentés dan le cadre du festival Sens Dessus Dessous sont annulés.
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La joie comme force de résistance et potentiel de création. Tel est le postulat de Muyte Maker, dernière création de la jeune chorégraphe Flora Détraz. Depuis plusieurs années, elle questionne la relation entre la voix et le mouvement, créant des spectacles à la polyphonie fantaisiste et décapante avec des corps qui se libèrent de toutes contraintes. Pour cette pièce, elle met en scène quatre figures féminines qui dansent et interprètent des chansons puisées dans le répertoire médiéval et de la Renaissance. Remaniés à leur sauce, les textes sont drôles, scabreux, satiriques, ils interrogent dans leurs dialogues avec les mouvements la place du corps dans la société, les représentations de la femme issues de visions archaïques et patriarcales. La scénographie est rocambolesque : assises derrière une table, les quatre femmes sont rattachées par les cheveux à une curieuse machine dont les chaînes sur poulies actionnent des outils tranchants qui montent ou descendent au gré de leurs mouvements. Cela pourrait être un instrument de musique, de torture ou encore de plaisir. Dans l’expression flamande ancienne, Muyte Maker signifie “mutinerie”. Est-ce donc à cela que nous allons assister ? 

la presse en parle
 
"Un détonnant quatuor féminin suspendu entre burlesque et tragique."
Les Inrockuptibles 

 
Flora Détraz – Cie Pli • Muyte Maker • 2018 • 4 interprètes - Chorégraphie Flora Détraz - Interprétation Mathilde Bonicel, Inês Campos, Flora Détraz, Agnès Potié - Lumières Arthur Gueydan - Son Guillaume Vesin (reprise de région Estelle Gotteland) - Scénographie Camille Lacroix - Collaboration artistique Anaïs Dumaine - Crédit photographique Carlos Fernandes
 
Production PLI. Coproductions Ramdam - un centre d’art, Lyon ; CCN de Caen, direction Alban Richard ; Pact-Zollverein, L’Avant-scène, Cognac ; La Place de la danse CDCN Toulouse – Occitanie ; le réseau des Petites Scènes Ouvertes ; CHOREGE - Relais Culturel Régional du Pays de Falaise ; Festival Alkantara. Mise à disposition de studios Les Éclats chorégraphiques, La Rochelle ; Alkantara, Lisbonne ; O Espaço do Tempo, Montemor-o-novo. Le projet Muyte Maker a reçu l’aide à la maquette et l’aide au projet de la Région Normandie et l’aide au projet de la DRAC Normandie. La compagnie PLI est soutenue par la DRAC Normandie au titre de l’aide à la structuration et par la Région Normandie au titre du développement de son activité.
 
En complicité avec 
 

Durée: 50 minutes

Lieu
Les Subs
FÉVRIER
Mardi 23
20:30

Tout public

Pass : 13€

Location : 13€

Conseillé à partir de 10 ans

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13 mars 2020

La Séance

Cie Kopfkino

Maison de la Danse

Entre danse, chanson et objet, La Séance propose une cérémonie de l’intime invitant chacun à s’écouter et prendre soin de sa propre existence.
ÉTAPE DE TRAVAIL présentéE dans le cadre de Créations en cours
Lors de chaque édition du festival Sens Dessus Dessous, la Maison de la Danse vous invite à découvrir des démarches originales qui sortent des sentiers battus. Cette année, nous avons décidé d’aller un peu plus loin et de convier de jeunes créateurs à présenter leurs travaux « en cours ». Autour de trois propositions artistiques, accédez à la création en train de se faire et venez échanger avec les artistes autour de leur processus de création !
 

 
La nouvelle création de la Compagnie Kopfkino veut révéler une sensibilité à partir d’une écoute de notre mémoire, réitérant ainsi un vécu, notamment de celui de nos défunts. L’absence se veut palpable et le souvenir émergent. La Séance explore la relation entre le corps et l’inconscient et convoque ainsi ce qui n’est plus pour rendre compte de ce qui a été. Un langage hybride se déploie à travers les vibrations sonores et énergétiques qui tends à rendre visible et tangible les interstices entre corps et espace. Chaque mouvement est posé avec une sensibilité et une spatialisation précise, donnant à voir les contours de nos mémoires. 
 
Cie Kopfkino • La Séance • Chorégraphie Benjamin Coyle - Interprètes Benjamin Coyle et Lauriane Douchin - Musique Gilles Poizat - Plasticienne Fanny Maugey - Dramaturgie Konrad Kaniuk - Lumière Julien Poupon - Costume Marie Odin - Production Nadia Polle - Crédit photographique Garance Li 
 
Co-production Centre Chorégraphique National Rillieux la Pape, direction Yuval PICK, dans le cadre du dispositif Accueil-Studio - Aide à l'expérimentation RAMDAM, UN CENTRE D’ART - Accueil en Résidence Le Pacifique Centre de Développement Chorégraphique National, Maison de la Danse Lyon, Centre National de la Danse Lyon - Résidence d’Expérimentation  Studio Lucien Cie Propos, Honolulu - Loic Touzé
 

 
La Maison de la Danse s’engage pour la création !
Pôle européen de création, la Maison de la Danse s’engage tout le long de l’année aux cotés des créateurs pour soutenir leur processus artistique. Elle accueillera entre autres cette saison en résidence la chorégraphe Jann Gallois, la Compagnie HKC-Amala Dianor, Oona Doherty-Nacera Belaza et Mathurin Bolze ; et fera bénéficier de l’accueil studio aux trois compagnies de Créations en cours. Cette démarche s’inscrit dans l’ouverture à venir des Ateliers de la danse - Émile Guimet en 2021 qui poursuivra cette dynamique. La Fondation BNP Paribas soutient les résidences et les créations internationales de la Maison de la Danse.
 
Lieu
Maison de la Danse
MARS
Vendredi 13
19:30

Entrée libre - Inscription obligatoire

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13 mars 2020

O canto do sapo (Le chant du crapaud)

Compagnie Aniki VóVó

Maison de la Danse

Une pièce inspirée de la grenouille qui se voulait plus grosse que le bœuf de Lafontaine, une sorte de fable de l’humain se rêvant toujours plus grand, plus haut, plus gros...
ÉTAPE DE TRAVAIL présentéE dans le cadre de Créations en cours
Lors de chaque édition du festival Sens Dessus Dessous, la Maison de la Danse vous invite à découvrir des démarches originales qui sortent des sentiers battus. Cette année, nous avons décidé d’aller un peu plus loin et de convier de jeunes créateurs à présenter leurs travaux « en cours ». Autour de trois propositions artistiques, accédez à la création en train de se faire et venez échanger avec les artistes autour de leur processus de création !
 

 
L’idée du spectacle est née de la collaboration de deux artistes : Joana Schweizer, danseuse/chorégraphe et musicienne, et Gala Ognibene, scénographe. Dans un second temps, Simon Deslandes, musicien "bruicoleur" a rejoint l’équipe et apporte sa singularité de musicien aventureux. Ces trois artistes aux langages bien différents ont eu envie de croiser leurs pratiques autour des thèmes du faux départ et de l’exploit. Ainsi, le chant du crapaud/O canto do sapo est une fable très librement inspirée de la Grenouille qui voulait se faire plus grosse que le bœuf de Jean de La Fontaine, sorte de fable de l’humain se rêvant toujours plus grand, plus haut, plus gros, en oubliant parfois que l’Homme est mortel et que ses rêves de grandeur peuvent se dégonfler tout à coup... Mieux vaut, alors, rire de ces faux plis qui se forment sur la piste immaculée de nos vies.
L’espace pose devant nous le cycle de vie, comme une métaphore de l’évolution de l’homme. Et dès le début, apparaît sous nos yeux la douceur de la pente et la brutalité de la fin, et cet élan vital qui nous anime tous les jours. Plus largement, dans notre monde où la puissance et la croissance sont aujourd’hui remises en question, Joana et Simon vont vivre, lutter, jouer, s’entraider, chanter, mais également s’empêcher d’avancer et d’arriver en haut. Comme si ce plongeoir n’était pas considéré comme la fin mais comme le début de la suite... Le sportif de haut niveau incarne cette métaphore : Un travail acharné, une volonté de puissance sans faille pour se retrouver au moment fatidique aux jeux olympiques, au risque d’être disqualifié et de, peut-être, ne jamais franchir la ligne d’arrivée.
 
Cie Aniki VóVó - Joana Schweizer et Gala Ognibene • O canto do sapo (Le chant du crapaud) • Conception Joana Schweizer et Gala Ognibene - Chorégraphie et interprétation Joana Schweizer - Scénographie Gala Ognibene - Composition musiciale Joana Schweizer, Simon Deslandes, Guilhem Angot - Lumière Arthur Gueydan et Bastien Gérard - Son Guilhem Angot - Costume Séverine Yvernault - Construction Cédric Bach/CEN Construction, Gala Ognibene - Collaboration artistique Ismael Tifouche Nieto - Crédit photographique Nicolas Boulain
 
Avec le soutien de la Maison de la Danse, Les Subsistances, Théâtre de Givors, CDC le Pacifique, Danse Dense - #lefestival, CND (Lyon et Pantin), Le Centquatre, Le Cube - Studio Théâtre de Hérisson / Coproduction SACD Beaumarchais, CCN de Roubaix - Les Ballets du Nord, Théâtre Madeleine Renaud - Taverny, SPEDIDAM, Caisse des Dépôts / Joana Schweizer est soutenue par le dispositif FORTE Région Ile de France
 

 
La Maison de la Danse s’engage pour la création !
Pôle européen de création, la Maison de la Danse s’engage tout le long de l’année aux cotés des créateurs pour soutenir leur processus artistique. Elle accueillera entre autres cette saison en résidence la chorégraphe Jann Gallois, la Compagnie HKC-Amala Dianor, Oona Doherty-Nacera Belaza et Mathurin Bolze ; et fera bénéficier de l’accueil studio aux trois compagnies de Créations en cours. Cette démarche s’inscrit dans l’ouverture à venir des Ateliers de la danse - Émile Guimet en 2021 qui poursuivra cette dynamique. La Fondation BNP Paribas soutient les résidences et les créations internationales de la Maison de la Danse.
 

Durée: 30 mn environ

Lieu
Maison de la Danse
MARS
Vendredi 13
18:30

Entrée libre - Inscription obligatoire

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